Une porte qui se ferme fait mal, mais ça en ouvre plusieurs aussi !

Une porte qui se ferme fait mal, mais ça en ouvre plusieurs aussi !

Il y a des moments où la vie nous claque une porte au nez. Brutalement. Sans prévenir. Et ça fait mal. On reste là, sonné, à fixer cette porte fermée, à se demander pourquoi, à ruminer tout ce qu’on perd avec elle. Que ce soit une relation, un travail, un projet ou une simple opportunité qu’on croyait acquise, ce genre de fermeture laisse un vide.


Je l’ai vécu. Et toi aussi, sûrement. Sur le coup, c’est difficile de voir autre chose que la perte. On se raccroche à ce qu’on connaît, à ce qu’on pensait mériter. On doute. On en veut un peu à la vie, au timing, aux autres… à soi-même, surtout.


Mais avec le recul – ce fameux recul qui vient toujours trop tard – on réalise que cette porte fermée a en réalité forcé notre regard ailleurs. Vers d’autres chemins, d’autres idées, d’autres personnes. Et parfois, vers soi. Parce qu’à travers ces pertes, on est souvent poussé à se redéfinir. À bouger. À oser ce qu’on n’aurait jamais envisagé si les choses s’étaient passées "comme prévu".


Et tu sais quoi ? Une nouvelle aventure m’attend dans quelques jours. Et pas n’importe laquelle. Un commerce super connu, dont le nom et la réputation ne sont plus à faire. Une entreprise solide, humaine, ancrée dans sa communauté. Une équipe incroyable, prête à évoluer ensemble, qui reconnaît et valorise le potentiel de chacun. La mienne, désormais.


Je suis fébrile, excitée et remplie de gratitude. Cette nouvelle étape me ressemble. Elle répond à mes besoins. Elle me permet de déployer mon plein potentiel, de contribuer à quelque chose de plus grand, tout en restant alignée avec mes valeurs. Et ce n’est pas tout : de nouveaux services verront bientôt le jour… et une surprise se prépare aussi.


Restez à l’affût !


C’est fou comme les plus beaux rebondissements naissent souvent des moments les plus sombres. Une porte qui claque, c’est aussi le début d’un espace vide qu’on peut enfin remplir autrement. Et c’est là que de nouvelles portes s’ouvrent. Parfois discrètement, parfois en grand. Mais elles sont là.


Alors oui, une porte qui se ferme, ça fait mal. Mais c’est aussi un appel à l’inattendu, à l’inconnu. À ce qui nous attendait de l’autre côté du mur, sans qu’on ose le voir.


Et si finalement, les portes qui se ferment étaient un peu comme des guides, pas des fins?



Retour au blog

Laisser un commentaire